Jonzu : La nuit d'octobre 2024 où il faillit être littéralement réduit en bouillie…

On oublie vite, mais lorsque nos stars évoquent leur début porno, elles sont nombreuses à nous rappeler combien la pandémie de Covid 19 et les mesures prises pour la contenir avaient provoqué la cessation de nombre d’activités jugées « non essentielles ». Styliste et mannequin, le spectaculaire Américain Brandon Jones n’avait ainsi plus de travail. La création de contenus via OF fut pour lui une bouée de sauvetage économique, et plus encore : un pas de plus dans la réalisation de soi. C’est ce qui ressort de l’interview qu’il a accordée à QueerMeNow. Il a commencé le porno sous le pseudo de Minotaur pour ensuite se faire appeler Jordan Jameson. Et depuis six/sept mois il performe sous le nom de Jonzu, à savoir le même pseudo qu’il utilise dans le milieux de la mode où il officie toujours.
Outre la création de contenus, sa filmographie porno comprend des scènes studios, notamment au sein de PeterFever, NoirMale, Himeros, KinkMen et LucasEntertainment. Il est aussi à l’affiche de Remember I Am Dead, court métrage du réalisateur Noel Alejandro. Crédité sois son vrai nom, Brandon Jones, il y joue un défunt.
- Photos : PeterFever (2021), Jordan Jameson & Lucas Leon (TimFuck-2024), avec Ali Rush et Personne Public pour le photographe Matthieu Dortomb (2025) et Remember I Am Dead (Noel Alejandro-2024)

La mort justement ! Jonzu l’a frôlée de très près. C’était en octobre de l'année dernière, en Allemagne, à Berlin…

« J’ai failli mourir. J’arrivais pour une soirée événement au Kit Kat Club. À ce moment-là, j'étais juste sous l'effet de l'adrénaline. J’étais tellement fatigué. J'avais atterri la veille, encore sous l’effet du décalage horaire et tout le reste. Et tout en étant épuisé, j'avais décidé de me surbooker et de passer d'une collab à une autre, puis encore à d’autres, sans repos, sans nourriture, rien. C’était comme si je m’étais transformé en une machine à baiser. Donc, je faisais tout ce que je faisais et à un moment c'était l'heure d’aller à la HustlaBall pour une performance […] J'étais comme un putain de zombie, un cadavre. Et nous sommes arrivés au club en Uber, moi et six autres gars qui jouions ce soir-là. J’étais du côté de la rue. J'ai ouvert la porte, j'ai mis un pied dehors et une voiture a foncé droit sur la porte, l'a pliée dans l'autre sens, le verre se brisant partout. J'étais genre « putain ». Et je n'arrivais même pas à réaliser que j'avais failli être réduit en bouillie. J’ai juste demandé : « Oh, tout le monde va bien ? Ça va ? La voiture va bien ? » Je me tenais dehors et tout le monde allait bien, heureusement. Mais je n'avais pas vraiment réalisé que j'avais failli mourir. Et devant le Kit Kat Club avec mes grosses bottes à plateformes, en chaps et un manteau long, en train de fumer une cigarette, j’attendais que les flics viennent remplir un rapport. C'était de la folie totale. »

Voici quelques photos de cette soirée mémorable…
- Jonzu et HustlaBall Berlin

Pour voir l'intégralité de son interview avec QueerMeNow, c'est ci-dessous :

Jonzu : La nuit d'octobre 2024 où il faillit être littéralement réduit en bouillie…

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