Avec un bodycount qui a de quoi remplir un stade, Dimitri Venum assume avoir toujours aimé le c** !

Tout récemment primé aux « European Porn Awards 2025 », le Français reconnaît toutefois que, parmi ses collègues, il y en a qui aiment encore plus le c** que lui. De vrais « phénomènes »…

Alors qu’au moment où s’écrivent ces lignes, la liste complète des European Porn Awards 2025 qui se sont tenus le 10 octobre dernier à Torremolinos, en Espagne, n’a pas encore été communiquée, on sait que l’un des gagnants n’est autre que le fantasmatique Français Dimitri Venum. Super !!!

Rappelons que le 26 avril 2025 il avait décroché le titre de Meilleur performeur versatile aux Grabbys Europe 2025 …

Pour ceux qui veulent en savoir beaucoup plus sur Dimitri Venum, il y a une interview postée il y a trois semaines sur Youtube. Questionné par le créateur de contenus/influenceur/vlogueur Jordan Tules, il nous apprend qu’il a débuté dans le porno en 2015 pour le label Pig Prod en tant que « doublure bite », que depuis deux ans cet ex-ingénieur en informatique est porn star/créateur de contenus/performeur live à plein temps et que le milieu du X lui a permis de se faire d’excellents amis parmi des collègues. À la question du nombre de partenaires qu’il a eu jusqu’à présent, il a cette réponse :

« Mon bodycount ? La dernière fois que j’ai fait un calcul, il y avait de quoi remplir un stade de province. Tu fais juste une multiplication. Parce qu'avant le porno, j’avais déjà une sexualité très débridée, et avec le porno, ça s’est juste multiplié. J’en suis largement à plus de 1000. »

Tout est relatif ! Si ce bodycount peut apparaître exceptionnel, il ne l’est pas pour lui. C’est la juste conséquence de quelqu’un qui a toujours aimé le cul. Et il tient à rappeler : « Dans ce métier, de toute façon, si tu ne surkiffes pas le cul, si déjà tu n’as pas une libido au-dessus de la norme, je ne pense pas que tu puisses faire ce boulot. » Toutefois, parmi ses collègues, il y en a quelques-uns qui - selon ses critères - sont véritablement des « phénomènes » : « Je ne sais pas [comment ils y arrivent]. Il y en a qui sont nés pour ça. Je veux dire, tu ne les vois pas faire autre chose. Ils sont en plus bons dans leur domaine. C’est ça le pire. » Ou le meilleur ? ;-)
Du côté des actifs :
« Tu as des gars qui sont capables de juter cinq fois d’affilée dans la journée. À chaque fois des quantités astronomiques. Mais après, c’est des gars qui au niveau cul sont capables de baiser cinq, six, sept fois. Enfin, c’est des obsédés sexuels, clairement… [Après une longue scène] tu n’as clairement pas envie de baiser. Tu as envie de bouffer, de dormir. Sauf quelques actifs qui sont des obsédés sexuels, je veux dire, eux, s’il ne font pas du porno, il finiront forcément dans une prison de sécurité. On ne peut pas les mettre ailleurs. Rires. »
Du côté des passifs :
« J’en connais deux qui sont sur le bouton ON du matin où ils ouvrent les yeux jusqu’au soir. Et pourtant leur cul est bien serré. »

Qui sont-ils ? DES NOMS !!! :-)

Pour visionner l’intégralité de l’interview, riche en anecdotes, en infos sur l’industrie du porno et en conseils prévention, c’est ici :

Avec un bodycount qui a de quoi remplir un stade, Dimitri Venum assume avoir toujours aimé le c** !

Tout récemment primé aux « European Porn Awards 2025 », le Français reconnaît toutefois que, parmi ses collègues, il y en a qui aiment encore plus le c** que lui. De vrais « phénomènes »…

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